Pur Sang
Prince du désert, seigneur du vent
Frôlant ta noble encolure arquée
Portant ta tête avec majesté
Une pluie de long crins en averse
Sur ta fière encolure se déverse
Maître des zéphyrs et du temps !
Ta couronne n'est autre que la liberté
T'ornant chaque jour de ses plus beaux lauriers
Laissant le peuple béat dans ton sillage
Tu provoque l'admiration à tes passages
Tu es monture et cavalier
Incarnation de la noblesse
Jamais ton honneur ne se blesse
Qu'autrement qu'en étant réduit
Lorsque ta volonté se plie
A l'orgueilleux coup de fouet
Pas même le trépas ne pourra te porter
A ton illustre gloire des entraves serrées
Car a jamais le bruit de tes sabots
Sera un hommage à ton galop
Au Delà
Suis-moi au-delà de toutes les frontières
Laisse-toi bercer par ce voyage dans tes rêves
Où l’impossible est roi, l’irrationnel réel
Où l’existence n’est plus, la vie se révèle
Illusion, le sang coule comme ta sève
Dans tes veines
Suis-moi
Dans tes rêves
Au-delà
Au plus profond, au plus caché
De ton inconscient, son intimité
Porte de sortie de ta vie
Pour quelques heures de paradis
Dans tes veines
Au-delà de tes rêves
Quand la vie n’est qu’irrationnelle
Et l’impossible réel
Illusion, du sang dans tes rêves
Suis-moi dans tes veines
Au-delà
De ta sève et des barrières du voyage
De l’existence au-delà du réel
Suis-moi dans ton illusion
Quand ton sang murmure « je t’aime »
Au-delà du réel…
Sans titre
De mon sang abreuve-toi
De ma chair repais-toi
Cette passion brûlante qui t'attire toujours et encore
Ton envie d'être toujours plus près de mon corps
Aime-moi, brûle-moi,
Fais-moi passer de vie à trépas
De chaînes d'amour tu m'enlaces
Sans que jamais je m'en lasse
D'un couteau, blesse moi
Mon sang s'écoulera
Délivre-moi de cette souffrance qui me tient
Désormais mon corps et coeur sont tiens
Goûte-moi, serre-moi
Au plus profond de tes bras
Bête sauvage enchaînée s'étant laissée capturer
Amour sauvage débridé à dompter
Griffure au coeur
Noir sang est cette macabre parade
Où défile grotesquement
De squelettiques chevaux de mort
Rouge mort sont les costumes
Où alignés indécemment
De morbides majorettes de mort
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Nous sommes sur un cheval déchaîné
Sous les voûtes ancestrales
Nous sommes pieds et poings liés
Une sombre vie animale
Par un pacte de sang sacré
S’empare des statues, bestiale
Et sous un long baiser scellé
Leur donne une vie sans égale
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Nous sommes sur un cheval enragé
Courent dans leur veines
Nous sommes par amour liés
Un noir sang de haine
Selon un rite désuet
Purge leur peine
Et sous un long lien muet
Leur âme cadenassée de chaînes
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Noir sang sont ces statues macabres
Qui s’animent grotesquement
Sous les voûtes de la mort
Rouge mort est leur vie qui coule
Dans leur regard dément
Sous la rime de la mort
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Solitude
Solitude
Entrelacs de cœur déchirés soupirant au ciel
Recherche de lieux oubliés
Pour s’isoler
Solitude
Ma main blanche posée sur tes lèvres t’intime un silence profond
D’inoubliable solitude et d’instants perdus
Ma douce caresse sur ta joue blanche essuient tes douces larmes
Un masque pâle posé à même la peau d’albâtre
Solitude
Ma main blanche posée sur tes lèvres libère un démon profond
Né de solitude et d’instants perdus
Ma douce caresse sur ta joue blanche essuient tes larmes sincères
Venues de ton cœur que tu as sur le mien
Solitude
Entrelacs de cœur déchirés soupirant au ciel
Recherche de lieux oubliés
Pour s’isoler
Solitude
Ma plume blanche écrit ces mots libérant un chagrin profond
Des mots qui partent au galop
Ma douce caresse sur la feuille blanche mouillée de larmes
Tachée de mots et d’instants perdus
Solitude
Ma main blanche essuient tes mots posés sur tes lèvres
Suivie des miennes, caressantes et perdues
Ma douce caresse sur ta joue chasse un démon profond
Né d’une feuille d’albâtre et d’un masque
Solitude
Entrelacs de cœur déchirés soupirant au ciel
Recherche de lieux oubliés
Pour s’isoler
Solitude
Pour s’isoler
Voilà ^^ j'vous dit si vous avez tout lu : bravo.... d'avoir supporté mes rimes insultantes au concept du poème XD
Prince du désert, seigneur du vent
Frôlant ta noble encolure arquée
Portant ta tête avec majesté
Une pluie de long crins en averse
Sur ta fière encolure se déverse
Maître des zéphyrs et du temps !
Ta couronne n'est autre que la liberté
T'ornant chaque jour de ses plus beaux lauriers
Laissant le peuple béat dans ton sillage
Tu provoque l'admiration à tes passages
Tu es monture et cavalier
Incarnation de la noblesse
Jamais ton honneur ne se blesse
Qu'autrement qu'en étant réduit
Lorsque ta volonté se plie
A l'orgueilleux coup de fouet
Pas même le trépas ne pourra te porter
A ton illustre gloire des entraves serrées
Car a jamais le bruit de tes sabots
Sera un hommage à ton galop
Au Delà
Suis-moi au-delà de toutes les frontières
Laisse-toi bercer par ce voyage dans tes rêves
Où l’impossible est roi, l’irrationnel réel
Où l’existence n’est plus, la vie se révèle
Illusion, le sang coule comme ta sève
Dans tes veines
Suis-moi
Dans tes rêves
Au-delà
Au plus profond, au plus caché
De ton inconscient, son intimité
Porte de sortie de ta vie
Pour quelques heures de paradis
Dans tes veines
Au-delà de tes rêves
Quand la vie n’est qu’irrationnelle
Et l’impossible réel
Illusion, du sang dans tes rêves
Suis-moi dans tes veines
Au-delà
De ta sève et des barrières du voyage
De l’existence au-delà du réel
Suis-moi dans ton illusion
Quand ton sang murmure « je t’aime »
Au-delà du réel…
Sans titre
De mon sang abreuve-toi
De ma chair repais-toi
Cette passion brûlante qui t'attire toujours et encore
Ton envie d'être toujours plus près de mon corps
Aime-moi, brûle-moi,
Fais-moi passer de vie à trépas
De chaînes d'amour tu m'enlaces
Sans que jamais je m'en lasse
D'un couteau, blesse moi
Mon sang s'écoulera
Délivre-moi de cette souffrance qui me tient
Désormais mon corps et coeur sont tiens
Goûte-moi, serre-moi
Au plus profond de tes bras
Bête sauvage enchaînée s'étant laissée capturer
Amour sauvage débridé à dompter
Griffure au coeur
Noir sang est cette macabre parade
Où défile grotesquement
De squelettiques chevaux de mort
Rouge mort sont les costumes
Où alignés indécemment
De morbides majorettes de mort
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Nous sommes sur un cheval déchaîné
Sous les voûtes ancestrales
Nous sommes pieds et poings liés
Une sombre vie animale
Par un pacte de sang sacré
S’empare des statues, bestiale
Et sous un long baiser scellé
Leur donne une vie sans égale
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Nous sommes sur un cheval enragé
Courent dans leur veines
Nous sommes par amour liés
Un noir sang de haine
Selon un rite désuet
Purge leur peine
Et sous un long lien muet
Leur âme cadenassée de chaînes
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Noir sang sont ces statues macabres
Qui s’animent grotesquement
Sous les voûtes de la mort
Rouge mort est leur vie qui coule
Dans leur regard dément
Sous la rime de la mort
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Je veux t’embrasser jusqu’à la morsure
T’ éteindre jusqu’à la griffure
T’aimer jusqu’à l’embrasure
Que mon cœur te torture
Enchaîne-moi, déchaîne-moi,
Chaînemoi
Solitude
Solitude
Entrelacs de cœur déchirés soupirant au ciel
Recherche de lieux oubliés
Pour s’isoler
Solitude
Ma main blanche posée sur tes lèvres t’intime un silence profond
D’inoubliable solitude et d’instants perdus
Ma douce caresse sur ta joue blanche essuient tes douces larmes
Un masque pâle posé à même la peau d’albâtre
Solitude
Ma main blanche posée sur tes lèvres libère un démon profond
Né de solitude et d’instants perdus
Ma douce caresse sur ta joue blanche essuient tes larmes sincères
Venues de ton cœur que tu as sur le mien
Solitude
Entrelacs de cœur déchirés soupirant au ciel
Recherche de lieux oubliés
Pour s’isoler
Solitude
Ma plume blanche écrit ces mots libérant un chagrin profond
Des mots qui partent au galop
Ma douce caresse sur la feuille blanche mouillée de larmes
Tachée de mots et d’instants perdus
Solitude
Ma main blanche essuient tes mots posés sur tes lèvres
Suivie des miennes, caressantes et perdues
Ma douce caresse sur ta joue chasse un démon profond
Né d’une feuille d’albâtre et d’un masque
Solitude
Entrelacs de cœur déchirés soupirant au ciel
Recherche de lieux oubliés
Pour s’isoler
Solitude
Pour s’isoler
Voilà ^^ j'vous dit si vous avez tout lu : bravo.... d'avoir supporté mes rimes insultantes au concept du poème XD